Complément indispensable des 2 moyens précédents, il permet de caractériser l’état de surface des optiques, leur rugosité, c’est à dire des défauts de niveau nanométriques.
La rugosité des miroirs est un paramètre important de la future qualité optique. Une faible rugosité est garante d’images contrastées, exemptes de halo ou de diffusion autour des objets brillants.
A l’inverse, une rugosité élevée sera synonyme de diffusion, d’images moins contrastées et globalement moins belles.
Les optiques finies manuellement présentent généralement une rugosité bien moindre que celles obtenues à la machine.